Rienne dure Au-dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais c’est louche Puisque ma peau A l’odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais de trĂȘve Et

La ceinture LyricsNon,pas sur la boucheMĂȘme si c'est louchePuisque ma langueA le goĂ»t de ta vertuDe ton honneur perduNon pas sur les lĂšvresMĂȘme si j'en rĂȘveMĂȘme si je trembleEt bien que mon cƓur soit nuMon Ăąme est revĂȘtueDe pudeur et d'impudenceSans te faire offenseMieux n'vaut pas tenter sa chanceRien ne dureAu dessus de la ceintureNon, pas sur la boucheMĂȘme sous la doucheMĂȘme si c'est durJe te mordrai c'est promisTous les coups sont permisNon, pas sur les lĂšvresMĂȘme pas en rĂȘveA sang pour sĂ»rOu tu mangeras ton pain grisMon cƓur est endurciNe tire pas sur l'ambulanceCar de la potencePlus rien n'a plus d'importanceRien ne dureAu dessus de la ceintureNon, pas sur la boucheJe sais, je toucheLe fond du lacLe temps des cerises est mortLe diable est dans le corpsNon, pas sur les lĂšvresNon c'est pas miĂšvreC'est pas le tracMais je prĂ©fĂšre me donner crueSans revers, ni refusRendons nous Ă  l'Ă©videnceTout est cuit d'avanceMieux n'vaut pas tenter sa chanceRien ne dureAu dessus de la ceintureNon, pas sur la boucheJe sais c'est louchePuisque ma peauA l'odeur de ton odeurAu dehors il fait chaudNon, pas sur les lĂšvresJamais de trĂȘveEt pas d'assautsLe bonheur est dans la penteEntre le sol et le ventreEntre l'oubli et l'oubliBel oiseau du paradisJoue plutĂŽt "jeux interdits"Rien ne dureAu dessus de la ceintureHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum
Rienne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche MĂȘme sous la douche. MĂȘme si c’est dur Je te mordrai c’est promis. Tous les coups sont per-mis. Non pas sur les lĂšvres MĂȘme pas en rĂȘve. A sang pour sĂ»r. Ou tu mangeras ton pain gris Mon coeur est endur-ci. Ne tire pas sur l’ambulance Car de la potence.

Sous ses airs d'innocente, Petite fille a papa, Se cachent des peines immenses, et des tempĂȘtes de froid Que personne ne voit, A peine quinze ans, C’est vrai qu'elle les fait pas. Mais, Quand tes hanches se balancent, et tu t'Ă©lances vers moi, Je ne rĂ©siste pas J'Ă©coute les Cramps, Tu te mets a genoux, Comme une premiĂšre fois, Comme une premiĂšre fois Si t'as une crampe, cramp’ça en cours de route, S'il te plait prĂ©viens moi, S'il te plait prĂ©viens moi A vouloir vivre trop vite, Vouloir tout essayer je te prĂ©viens petite, Ça va mal terminer, Et ca je ne veux pas J'aurais pu te protĂ©ger, De tous ces obsĂ©dĂ©s Et je me jure bĂȘtement, que je ne te laisserai pas PlutĂŽt crever de froid J'Ă©coute les Cramps, Tu te mets a genoux, Comme une premiĂšre fois, Comme une premiĂšre fois Si t'as une crampe, cramp’ça en cours de route, S'il te plait prĂ©viens moi, S'il te plait prĂ©viens moi Ouaaah ! Ah j'aurais tout fait, J'aurais tout essayĂ© Je sais que tu comprends, Que c'est plus fort que toi Je ne t'attendrai pas J’écoute les Cramps, Tu te mets a genoux, Comme une premiĂšre fois, Comme une premiĂšre fois De crampe en Cramps, ah tu me rendras fou Ne joues plus avec moi, Ne joues plus avec moi ooh ! Aah aaah aaaah Waouh !

2Co.5/8-10 : « Nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprĂšs du Seigneur. C’est pour cela aussi que nous nous efforçons de lui ĂȘtre agrĂ©ables, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions. Car il nous faut tous comparaĂźtre devant le Tribunal de Christ, afin que chacun
Non pas sur la bouche MĂȘme si c'est louche Puisque ma langue A le goĂ»t de ta vertu De ton honneur perdu Non pas sur les lĂšvres MĂȘme si j'en rĂȘve MĂȘme si je tremble Et bien que mon coeur soit nu Mon Ăąme est revĂȘtue De pudeur et d'impudence Sans te faire offense Mieux n'vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche MĂȘme sous la douche MĂȘme si c'est dur Je te mordrai c'est promis Tous les coups sont permis Non pas sur les lĂšvres MĂȘme pas en rĂȘve A sang pour sĂ»r Ou tu mangeras ton pain gris Mon cƓur est endurci Ne tire pas sur l'ambulance Car de la potence Plus rien n'a plus d'importance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais je touche Le fond du lac Le temps des cerises est mort Le diable est dans le corps Non pas sur les lĂšvres Non c'est pas miĂšvre C'est pas le trac Mais je prĂ©fĂšre me donner crue Sans revers ni refus Rendons nous Ă  l'Ă©vidence Tout est cuit d'avance Mieux n'vaut pas tenter sa chance Rien ne dure Au dessus de la ceinture Non pas sur la bouche Je sais c'est louche Puisque ma peau A l'odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais de trĂȘve Et pas d'assauts Le bonheur est dans la pente Entre le sol et le ventre Entre l'oubli et l'oubli Bel oiseau du paradis Joue plutĂŽt “jeux interdits“ Rien ne dure Au dessus de la ceinture Pour prolonger le plaisir musical Voir la vidĂ©o de La Ceinture» Rienne dure au-dessus de la ceinture. Non pas sur la bouche. MĂȘme sous la douche. MĂȘme si c’est dur. Je te mordrai c’est promis. Tous les coups sont permis. Non pas sur les lĂšvres . MĂȘme pas en rĂȘve. À sang pour sĂ»r. Ou tu mangeras ton pain gris. Mon cƓur est endurci. Ne tire pas sur l’ambulance. Garde la potence. Plus rien n’a plus d’importance. Rien ne dure au-dessus de la Je monte dans la voiture je passe la premiĂšre et j'avance j'prend l'autoroute de la vie Ă  pleine vitesse et je pense j'sais pas ou sa me mĂšnera une chose et sure j'prend le volant attendant l'heure ou mon Ăąme s'envolera j'aperçois un auto-stoppeur , c'est une femme j'm'arrĂȘte sur la bande d'arrĂȘt d'urgence et j'me calme " Que fais-tu la toute seule? Qui tu es? Ou tu vas?" J'sais pas pourquoi j'm'arrete j'ressens un truc au fond de moi elle me rĂ©pond "Moi j'suis ta femme celle qui te chĂ©rira toute ta vie, ensemble on va construire un empire, j'te doit le respect comme toi tu me le dois, on va fondĂ© un foyer fait moi confiance tu verras ! " Vas y grimpe, et je continu mon chemin j'sais pas y a quelque chose qui a changĂ©, j'me sens bien prĂȘt a croquer la vie Ă  pleine dents derriĂšre chaque grand homme s'cache une femme pt'etre es ce la mĂšre de mes enfants j'roule et j'apperçois des gosses au loin, leur visage me rapel quelqu'un.. je ralentie, j'm'arrĂȘte peut-ĂȘtre qui ont besoin d'aide "qui vous-ĂȘtes? " " Nous ont est tes enfants, ta dĂ©ssendance, tes dignes hĂ©ritiers, ta fiertĂ© ont est ton sang, prend nous dans tes bras, serre nous contre toi, ont dit que la vie et dure on ve faire de la route avec toi ! " "allez-y grimper mes ptits et mettez votre ceinture le ch'min est parsemĂ© d'embuches c'est vrai que la vie et dure. votre grand-pĂšre ma appris le sens de la droiture, Votre mĂšre vous couvera son amour sera une toitĂ»re ! " Plus j'avance plus j'ai l'impression de prendre de l'Ăąge, jm'arrĂȘte a chaque pĂ©age, Des rides sur mon visage j'ai une Femme et deux gosses dans la ture, des panneaux apparaissent et mfont signes de ralentirs,j'lĂšve le pied de l'accelĂ©rateur jle fait surtout quand je vois le reflet de mes gosses sur le rĂ©tro-viseur intĂ©rieur , faut que jl'ai assumes,que je subvienne a leur besoin bon dieu j'ai besoin d'aide faite qu'il ne manque de rien, la main sur le volan, ma femme est souriante j'allume une clope et un signal clignote sur le tableau de bord, j'ai presque plus d'essence, il me reste peut d'argent il faut du carburant, il y a une station Ă  quelque bornes, j'prend le voie de ralentissement, je dĂ©ccĂ©lĂšre j'freine doucement, Vu que la chaussĂ©e est glissante j'arrive a la station j'met le plein de carburant, jm'aprĂȘte a monter dans mon break, Quand un gars pose sa main sur mon Ă©paule et me dit " attend " Veut que j'lui accorde un instant, il etait sapper classe, costard cravate, attacher caisse , le regard traversant ses lunettes noires, il me dit " moi je suis le tollard, en simple j'suis toute les richesses que se bas-monde comporte,tous ce que je touche devient de l'or tu n'auras plus de soucis d'argent,tu railloneras au zenith comme un diamant, Regarde toi, t'en a pas marre de cette vie ? sors ta famille de la misĂšre j'te propose d'ĂȘtre riche, regarde moi sa tes enfants font de la peine a voir, crois moi j'te propose la richesse et la gloire ! j'sais pa s'type jle sens pas trop, il dit qu'il peut changer ma vie, mais en mĂȘme temps j'ai plus de frik, j'hĂ©site un peu mais j'ai pas d'autres choix. " vasy grimpe " Bisaremment mon break se transforme en berling, et ma soite se transforme en brettline, mon alliance en argent s'transforme en or , ce type avait raison, l'argent contribu au bonheur, l'humeur et joviale, tout le monde et souriant, mais bisarement, je s'stress et j'm'enerve bĂȘtement,jm'enbrouille avec ma femme,ce type Ă  l'air ravi.. a cet instant prĂ©cis j'ai compris qu'il me manquer un truk dans ma vie, la route s'assombri, mon regard se noircis, un nuage noir au-dessus d'ma tĂȘte, j'enchaine les cigarettes, enfet j'suis Ă  cotĂ© du diable, et je le sais mĂȘme pas, j'vois son regard bisar quand une lumiĂšre apparait la-bĂ s, j'me dirige vers cette lueur, il me dit change de chemin , mais jm'accroche au volan fermement avec mes deux mains, un vieil homme vĂȘtu de blanc se tient sous cette lueur, jm'arrĂȘte curieux dsavoir qui dĂ©gage tant de lumiĂšre.. et la je sors de la voiture, jme rapproche du vieil homme et d'un thon calme et rassurant il me dit "j'suis les principes et les valeurs, sache que le matĂ©riel ne contribu jamais au bonheur, ce type qui se tient Ă  coter de toi est faux et mal-saint, il causera ta perte, il t'Ă©garera en chemin.. moi je conseil le bien et je deconseille le mal, je sens que ton coeur et tacher, que ton Ăąme va mal, on m'appel aussi la foie celle qui calme t'est freyeurs je n'ai pas d'argent Ă  t'offrir, juste la tranquilitĂ© du coeur.." "c'est bien beau ce que tu racontes mais j'ai tout ceux dont j'ai besoin, une femme, des gosses et de l'argent,en gros je manque de rien, t'a l'air d'ĂȘtre quelqu'un de bon mais y'a plus de place dans la tire, j'reviendrais peut-ĂȘtre te chercher mais la je dois partir" j'remonte dans la caisse avec un semblant de regret, j'accĂ©lĂšre, j'accĂ©lĂšre j'suis de plus en plus stresser j'accĂ©lĂšre, j'accĂ©lĂšre et un coloss me barre la route,jl'Ă©vite de justesse, mais je perd le contrĂŽle de ma caisse, merde jfrappe contre la rembarde de sĂ©curitĂ©, ma tĂȘte brise le pare-brise, j'ai le visage ensanglanter, j'entend les sanglots de ma femme et de mes mĂŽmes,assomer jsor de la voiture,mais qui est cette homme? "Moi je suis l'ange de la mort, je suis venu rĂ©cupĂ©rer ton Ăąme, si ta le vieil homme avec toi, je t'ouvre les portes du paradis,sinon c'est l'enfer.. tu t'es accrochĂ© aux choses Ă©phĂ©maires et matĂ©riels de ce bas-monde, mais on n'emporte rien avec soit, on emporte que ses oeuvres et sa foie..." Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
ÔžáˆšŐ« ĐłŐ­ĐżŃĐ°Ï€Îčկαዷ á‹›Đ°ÎłĐŸá‹­Ńƒá‹šŐ† Đ”ŃĐ»á‹§Đ»ŃƒŐ° ĐŸĐŽŃ€ŃƒŃ€Đ°Ï„Îž
Đ•ŃÎżÖŐ«ÖƒĐžŃ…Đž ኚОዱá‰čÏáŠ›áˆĐ”Đ·áŠ« ŃƒŃˆĐ”Ï‚ŐˆÖ‚ŐłÖ…Ń‰Ń‹Đ¶áŠ— ÎčĐŽ стоፅ
ተ ÎžÏ‚Đ”ŃĐșሎΩվĐșлխ уλОζ
Đ„áŠ€áˆ—Î”Ń€ŃƒŃ‚ĐČŐĄ Осሱ Ö‡Đ€Đ°Ń€ĐŸáŠ‘ Đ»ĐŸ áŒ©ŐŸĐŸŃ„
Κофጊ Ï‡Đž քÎčАኟоሂ лОЎ
Lesgens qui ont creusĂ© la dette et profitent du systĂšme qui a créé la dette sont trĂšs trĂšs loin au dessus de la tĂȘte des gilets jaunes. Il y a des profiteurs qui utilisent le systĂšme et des gabegies qui dilapident l’agent du systĂšme (CICE, je regarde dans ta direction, avec toute ton inutilitĂ© attestĂ©e par toutes les Ă©tudes officielles). Et ensuite on prend les gens qui n’ont
Paroles de la chanson Ici par Psy 4 de la Rime "Enfants de la lune" "On vient d'lĂ  oĂč y a trop d'brume" "Nos rĂȘves se brisent" "LĂ  oĂč la route est floue" "On grandi Ă  contrecƓur" "LĂ  oĂč on s'nourrit de rancune" "Bienvenue" "LĂ  oĂč l'espoir se consume" [Soprano] J'viens d'lĂ  oĂč les cafards ont des buildings LĂ  oĂč Otis pousse ma mĂšre Ă  faire du body-building LĂ  oĂč les petits n'vont plus en classe, passent leur temps Ă  rouler Et avancent avec un joint de culasse La routine comme seul passe-temps LĂ  oĂč les flics te passent les menottes Ă  chaque fois qu'tu tue l'temps LĂ  oĂč on s'serre la ceinture pour ĂȘtre bien sapĂ© LĂ  oĂč on prĂ©fĂšre ĂȘtre Ze Pequeño que BuscapĂ© LĂ  oĂč des Ronaldihno s'blessent avant d'ĂȘtre pros LĂ  oĂč la colo s'appelle mandat de dĂ©pĂŽt LĂ  oĂč l'alcool sert Ă  s'noyer LĂ  oĂč on croit qu'l'amour n'est qu'un mouvement de poignet LĂ  oĂč la guigne t'fait la bise en t'faisant les poches LĂ  oĂč pour s'enterrer nos dualitĂ©s servent de pioches Chez nous l'sourire est mal agrippĂ© Ă  nos lĂšvres Et nos virĂ©es en motos s'transforment en cortĂšge funĂšbre [Alonzo] Sueurs froides, c'est parce que les gens ont changĂ© qu'on s'parle plus Qu'on communique avec tant d'choses sauf avec la bouche Le disque, la seule langue en quoi j'pourrais vous parler Sans vice, pin-up, bien sĂ»r sans pourparlers On est la couche, qui sĂ©pare la maigreur de l'obĂ©sitĂ© Car on est entre Zola, et on sait pas ce qu'on veut Être un vaillant ici ou de l'autre cĂŽtĂ© Les titulaires de la bĂȘtise sont mis en doute Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit [Vincenzo] J'ai pourtant criĂ© tout haut, ce qu'certains pensaient tout bas Tu sais, dure est la vision de voir comme un oiseau d'en bas Dur d'planer sans l'effet d'l'herbe et l'shit Tout comme mes gars amateurs d'grosses caisses et de parties de chatte MalgrĂ© mes dĂ©fauts, j'reste celui qui dĂ©fie les dĂ©fauts de la vie J'te parle du systĂšme et de ceux qu il ennuie J'te parle des maillons faibles qui haussent le ton Avance avec le temps comme ces feuilles mortes oĂč se dirige le vent J'remercie le bon Dieu d'ĂȘtre encore vivant MalgrĂ© des coups passĂ©s chers qui allaient me coĂ»ter la vie mĂ©disant J'suis de ceux qui dĂ©rĂšglent le systĂšme H24 Qui hachent les mots d'la politesse, qui recrachent et qui emplĂątrent De cette gĂ©nĂ©ration dĂ©cidĂ©ment non clean Fan de Fight club, chemise seulement quand les billets s'alignent Au fait j'souligne l'amertume que j'ai quand j'vois mes parents Car c'sont les seuls devant lesquels j'm'aligne Écoute, j'vais pas m'confesser, car tu pourrais pas m'rĂ©pondre Autour de moi t'es juste la seule frĂ©quence qui peut capter mes ondes Veille sur mes gars, en attendant qu'je sorte Ces mĂȘmes Ruff Ryders pilotes d'R6 et RS4 Car j'supporte plus l'envers du dĂ©cor Cet effet sombre, ce bruit en fond qui m'stresse Ă  cause du savon La vie un coup d'sabre, oĂč on sent pas l'mal, on le subit Et moi devant ma fenĂȘtre j'me tais et j't'apprĂ©cie Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit [Alonzo] La plume Ă©crit, moi j'percute deux temps aprĂšs C'est un goĂ»t amer mes vers pas vrai c'est flou comme la brume La brune, lĂąche-moi les burnes, j'les ai Ă  l'envers les tunes AmĂ©liore rien car je suis lĂ©sĂ© LaissĂ© Ă  l'abandon par le courage Mais j'suis un homme il faut qu'j'me relĂšve sans bĂątons, sans hameçon Sans penser qu'autrui a la rage Donc passons, les Ăźlotages sont plus sujets premiers Donc pensons au monde qu'on va laisser aux bambins Chico, la chance veut pas lĂącher d'sourire Elle nous boude depuis l'Ă©poque de la petite souris Ici quand les dents tombent c'est que tu es conscient qui faut en avoir bon sous le lit Ma mĂšre combat mes flammes avec ses larmes Mon fils avec l'urine car c'est le seul mec qui m'pisse dessus Car c'est le seul mec qui prend le dessus Le seul qui m'calme Bonsoir la jeunesse de France, Alonzo J'ai la parole lourde et simple le malheur dans la bouche La triste rĂ©alitĂ© j'ai lĂ , j'ai lĂ  ce qui te touche La mĂ©lodie du drame, le chant d'l'Ă©poque, d'la connerie humaine Ces blocs je cane [Soprano] Comme nos mĂšres qui ne font que mouiller leurs pommettes Car la lettre vient du bled ou des Baumettes Faut que j'collecte les millimĂštres qui me mĂšnent Ă  mon maĂźtre Le seul Ă  pouvoir soigner ce mal-ĂȘtre, qu'on s'relĂšve collĂšgue Qu'on lĂšgue Ă  nos fils la vision d'un homme honnĂȘte Qu'il n'ait pas Ă  le voir du haut d'nos fenĂȘtres Se mettre Ă  semer des roses, au lieu d'chrysanthĂšmes Car sous les larmes, l'espoir est une flamme qui peut s'Ă©teindre Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment, ignorant, c'qu'on vit Tu sais, ici les jeunes tombent en mĂȘme temps qu'la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire c'qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit
PetitFrÚre fume des spliffs et casse des voitures. Petit frÚre a déserté les terrains de jeux. Il marche à peine et veut des bottes de sept lieues. Petit frÚre veut grandir trop vite. Mais il a oublié que rien ne sert de courrir, petit frÚre. Petit frÚre rÚve de bagnoles, de fringues, et de tunes.
Retour Ă  la liste des chansons InterprĂšte Élodie FrĂ©gĂ© AnnĂ©e 2006 Sommaire 1 Paroles 2 Dates de sortie 3 Trous DerniĂšres paroles donnĂ©es lors de la mĂȘme chanson 50 points 40 points 30 points 20 points 10 points Maestro 4 VidĂ©os Chanson KaraokĂ© Paroles LĂ©gende en gras le texte qui a Ă©tĂ© montrĂ© Ă  NOPLP en italique ce qui n'a pas Ă©tĂ© montrĂ© Ă  l'Ă©cran par NOPLP donc aucune certitude de texte entre parenthĂšses ce qu'il n'est pas obligatoire de chanter, mais fait quand mĂȘme partie du texte, comme les chƓurs ou onomatopĂ©es que le candidat a le droit de dire x2 avant un paragraphe le paragraphe doit ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ© 2 fois x2 en fin de ligne la ligne doit ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e 2 fois Non pas sur la bouche MĂȘme si c’est louche Puisque ma langue A le goĂ»t de ta vertu De ton honneur perdu Non pas sur les lĂšvres MĂȘme si j’en rĂȘve MĂȘme si je tremble Et bien que mon cƓur soit nu Mon Ăąme est revĂȘtue De pudeur et d’impudence Sans te faire offense Mieux n’vaut pas tenter sa chance Rien ne dure au-dessus de la ceinture Non pas sur la bouche MĂȘme sous la douche MĂȘme si c’est dur Je te mordrai c’est promis Tous les coups sont permis Non pas sur les lĂšvres MĂȘme pas en rĂȘve À sang pour sĂ»r Ou tu mangeras ton pain gris Mon cƓur est endurci Ne tire pas sur l’ambulance Garde la potence Plus rien n’a plus d’importance Rien ne dure au-dessus de la ceinture [Instrumental] Non pas sur la bouche Je sais je touche Le fond du lac Le temps des cerises est mort Le diable est dans le corps Non pas sur les lĂšvres Non c’est pas miĂšvre C’est pas le trac Mais je prĂ©fĂšre me donner crue Sans revers ni refus Rendons nous Ă  l’évidence Tout est cuit d’avance Mieux n'vaut pas tenter sa chance Rien ne dure au-dessus de la ceinture [Instrumental] Non pas sur la bouche Je sais c’est louche Puisque ma peau A l’odeur de ton odeur Au dehors il fait chaud Non pas sur les lĂšvres Jamais de trĂȘve Et pas d’assaut Le bonheur est dans la pente Entre le sol et le ventre Entre l’oubli et l’oubli Bel oiseau du paradis Joue plutĂŽt jeux interdits Rien ne dure au-dessus de la ceinture Dates de sortie 20 points prise Vendredi 11 mars 2016 ; 1Ăšre Ă©mission Maestro prise Mardi 31 mai 2016 ; 2Ăšme Ă©mission 20 points non prise Jeudi 8 dĂ©cembre 2016 ; 2Ăšme Ă©mission Maestro non prise Vendredi 17 novembre 2017 ; 1Ăšre Ă©mission Maestro non prise Mercredi 14 fĂ©vrier 2018 ; 1Ăšre Ă©mission Maestro non prise Lundi 19 mars 2018 ; 2Ăšme Ă©mission Maestro prise Mardi 1er mai 2018 ; 1Ăšre Ă©mission 20 points non prise Samedi 12 janvier 2019 ; 1Ăšre Ă©mission 30 points prise Samedi 15 fĂ©vrier 2020 ; 1Ăšre Ă©mission Maestro prise Jeudi 26 mars 2020 ; 1Ăšre Ă©mission 30 points prise Jeudi 11 juin 2020 ; 2Ăšme Ă©mission 40 points non prise Vendredi 11 septembre 2020 ; 2Ăšme Ă©mission 20 points non prise Mardi 27 octobre 2020 ; 2Ăšme Ă©mission - Masters Maestro non prise Lundi 21 dĂ©cembre 2020 ; 2Ăšme Ă©mission 50 points non prise Vendredi 29 janvier 2021 1Ăšre Ă©mission Maestro prise Mercredi 10 mars 2021 1Ăšre Ă©mission 30 points prise Mardi 6 juillet 2021 ; 1Ăšre Ă©mission 40 points non prise Dimanche 29 aoĂ»t 2021 ; 1Ăšre Ă©mission 20 points prise Jeudi 21 octobre 2021 ; 1Ăšre Ă©mission 40 points non prise Mercredi 22 dĂ©cembre 2021 ; 1Ăšre Ă©mission 50 points non prise Jeudi 7 avril 2022 ; 2Ăšme Ă©mission 40 points non prise Jeudi 7 juillet 2022 ; 1Ăšre Ă©mission Trous DerniĂšres paroles donnĂ©es lors de la mĂȘme chanson Ici donner les 2-3 derniĂšres lignes donnĂ©es au candidat [coupure] ici mettre les 2-3 lignes d'aprĂšs que le candidat doit chanter 50 points À renseigner 40 points À renseigner 30 points Pas sur l'ambulance 06/07/2021 20 points Coups sont permis 11/03/2016 C'est dur 21/10/2021 10 points À renseigner Maestro 31/05/2016 1 000 € Honneur perdu 2 000 € Sans te faire offense 5 000 € Douche mĂȘme si c'est dur 10 000 € Ne tire pas sur l'ambulance garde la potence 01/05/2018 1 000 € Honneur perdu 28/06/2018 1 000 € Ta vertu 2 000 € De pudeur et d’impudence 5 000 € La douche mĂȘme si c’est dur 11/10/2018 1000 € Honneur perdu 2000 € Pas tenter sa chance 10/03/2021 1 000 € Les lĂšvres 2 000 € Pas tenter sa chance 5 000 € Je te mordrais c'est promis 10 000 € Ou tu mangeras ton pain gris mon cƓur est endurci date 1 000 € À renseigner 2 000 € À renseigner 5 000 € À renseigner 10 000 € À renseigner 20 000 € À renseigner VidĂ©os Chanson KaraokĂ©
RIENNE DURE..au-dessus de la ceinture 02 octobre 2006 Ben oui, elle veut signifier, que gĂ©ographiquement parlant, au-dessus de la ceinture, parfois tu peux croire dans ton piti cƓur, qu’une histoire d’amour, ça dure ; et pis ben nan, tu te rends compte, par une rupture que.RIEN NE DURE AU-DESSUS DE LA CEINTURE

il parle que quoi au juste lĂ  dans sa chanson ? comment l'interprĂ©tez-vous ? Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidĂ©o. Eh benvous z'ĂȘtes pas forts en explication de textes J'aime En rĂ©ponse Ă  Tcitron Eh benvous z'ĂȘtes pas forts en explication de textes PtĂȘtre parce quetu n'es pas fort en copiĂ© collĂ©... J'aime Allez, parce que c'est toi alors,mais il me semblait que c'Ă©tait connu Non pas sur la boucheMĂȘme si c'est louchePuisque ma langueA le goĂ»t de ta vertuDe ton honneur perduNon pas sur les lĂšvresMĂȘme si j'en rĂȘveMĂȘme si je trembleEt bien que mon coeur soit nuMon Ăąme est revĂȘtueDe pudeur et d'impudenceSans te faire offenseMieux n'vaut pas tenter sa chanceRien ne dureAu-dessus de la ceintureNon pas sur la boucheMĂȘme sous la doucheMĂȘme si c'est durJe te mordrai c'est promisTous les coups sont permisNon pas sur les lĂšvresMĂȘme pas en rĂȘveA cent pour sĂ»reOu tu mangeras ton pain grisMon coeur est endurciNe tire pas sur l'ambulanceGarde la potencePlus rien n'a plus d'importanceRien ne dureAu-dessus de la ceintureNon pas sur la boucheJe sais je touche le fond du lacLe temps des cerises est mortLe diable est dans le corpsNon pas sur les lĂšvresNon c'est pas miĂšvreC'est pas le tracMais je prĂ©fĂ©re me donner crueSans revers ni refusRendons-nous Ă  l'Ă©videnceTout est cuit d'avanceMieux n'vaut pas tenter sa chanceRien ne dureAu-dessus de la ceintureNon pas sur la boucheJe sais c'est louchePuisque ma peauA l'odeur de ton odeurAu dehors il fait chaudNon pas sur les lĂšvresJamais de trĂȘveEt pas d'assautLe bonheur est dans la penteEntre le sol et le ventreEntre l'oubli et l'oubliMĂȘme l'oiseau du paradisJoue plutĂŽt jeux interditsRien ne dureAu-dessus de la ceinture. J'aime Bon sangje m'attendais Ă  un texte compliquĂ©, je ne vois pas oĂč est la difficultĂ© C'est quoi que tu ne piges pas ?allez, je te mets sur la voie aventure, sensualitĂ©, plaisir, zĂ©ro engagement, Ă©phĂ©mĂšre... J'aime En rĂ©ponse Ă  margaux8657836 Bon sangje m'attendais Ă  un texte compliquĂ©, je ne vois pas oĂč est la difficultĂ© C'est quoi que tu ne piges pas ?allez, je te mets sur la voie aventure, sensualitĂ©, plaisir, zĂ©ro engagement, Ă©phĂ©mĂšre... VoilĂ ,maintenant, tu as droit Ă  l'autre partie dĂ©ception, peur, sentiments... alors, alors, alors ? J'aime En rĂ©ponse Ă  margaux8657836 Bon sangje m'attendais Ă  un texte compliquĂ©, je ne vois pas oĂč est la difficultĂ© C'est quoi que tu ne piges pas ?allez, je te mets sur la voie aventure, sensualitĂ©, plaisir, zĂ©ro engagement, Ă©phĂ©mĂšre... Nan mais merci, ça j'avais compris le contextegĂ©nĂ©ral + le fait qu'il ne croit pas aux histoires d'amour. Suis pas si bĂȘte qd je te parle des sous-entendus et des non-dits tout en subtilitĂ©. J'ai l'impression qu'il fait allusion Ă  qq chose mais je n'arrive pas Ă  cerner quoi MĂȘme si c'est durJe te mordrai c'est promis...Garde la potenceJe sais je touche le fond du lacJamais de trĂȘveEt pas d'assautLe bonheur est dans la penteetc, etcbalaise comme tu es, je sens que tu vas dĂ©cortiquer toutes ces mĂ©taphores en deux temps, trois mouvements J'aime En rĂ©ponse Ă  Tcitron Nan mais merci, ça j'avais compris le contextegĂ©nĂ©ral + le fait qu'il ne croit pas aux histoires d'amour. Suis pas si bĂȘte qd je te parle des sous-entendus et des non-dits tout en subtilitĂ©. J'ai l'impression qu'il fait allusion Ă  qq chose mais je n'arrive pas Ă  cerner quoi MĂȘme si c'est durJe te mordrai c'est promis...Garde la potenceJe sais je touche le fond du lacJamais de trĂȘveEt pas d'assautLe bonheur est dans la penteetc, etcbalaise comme tu es, je sens que tu vas dĂ©cortiquer toutes ces mĂ©taphores en deux temps, trois mouvements Mais mon poulet ou ma poulette,c'est Benjamin Bio qui a Ă©crit, hein...tu vois...c'est qui lui d'ailleurs ? J'aime En rĂ©ponse Ă  margaux8657836 Mais mon poulet ou ma poulette,c'est Benjamin Bio qui a Ă©crit, hein...tu vois...c'est qui lui d'ailleurs ? Et alors ma belle ou mon beau,quand on lit un texte de rimbaud, apollinaire, prĂ©vert ou n'importe quel poĂšte le but du jeu c'est quand mĂȘme de chercher Ă  comprendre le sens des mots et des idĂ©es qu'ils ont voulu faire passer non ?et bien lĂ , c'est un peu pareil tu tu veux savoir qui il est, utilise ton moteur de recherche prĂ©fĂ©rĂ© J'aime En rĂ©ponse Ă  Tcitron Et alors ma belle ou mon beau,quand on lit un texte de rimbaud, apollinaire, prĂ©vert ou n'importe quel poĂšte le but du jeu c'est quand mĂȘme de chercher Ă  comprendre le sens des mots et des idĂ©es qu'ils ont voulu faire passer non ?et bien lĂ , c'est un peu pareil tu tu veux savoir qui il est, utilise ton moteur de recherche prĂ©fĂ©rĂ©Euh,ma belle c'est mieux Je voulais juste te dire que Benjamin ce n'est pas Arthur ou Jacques justement... donc, non, ce n'est pas franchement pas pareil !! Maintenant, si tu me dis que tu Ă©tudies ça en fac de lettres, je veux bien revoir mon jugement J'aime En rĂ©ponse Ă  margaux8657836 Euh,ma belle c'est mieux Je voulais juste te dire que Benjamin ce n'est pas Arthur ou Jacques justement... donc, non, ce n'est pas franchement pas pareil !! Maintenant, si tu me dis que tu Ă©tudies ça en fac de lettres, je veux bien revoir mon jugement Comme il faut Ă©voluer avec son temps,rien ne dit qu'il ne sera pas un jour Ă©tudiĂ© en ce qui est de la traduction, je reste un peu sur ma faim... J'aime Vous ne trouvez pas votre rĂ©ponse ? En rĂ©ponse Ă  Tcitron Comme il faut Ă©voluer avec son temps,rien ne dit qu'il ne sera pas un jour Ă©tudiĂ© en ce qui est de la traduction, je reste un peu sur ma faim...Pour finir, en lisant cette derniĂšre rĂ©ponse,je me dis en lisant ta 1Ăšre phrase que tu as vraiment trop d'imagination, et en lisant ta seconde et derniĂšre phrase que tu manques d'imaginationtu devrais t'amuser Ă  lire d'autres paroles de chansons qui semblent totalement incohĂ©rentes dĂšs qu'on les dĂ©cortique ! Bref, libre Ă  toi de te presser le citron sur cette chansonnette ! J'aime On pourrait penserqu'il s'agit des paroles d'une prostituĂ©e qui a peur de tomber amoureuse de son client, qui l'est sĂ»rement dĂ©jĂ , et qui lutte pour que leur relation se cantonne au sexe. J'aime En rĂ©ponse Ă  margaux8657836 Pour finir, en lisant cette derniĂšre rĂ©ponse,je me dis en lisant ta 1Ăšre phrase que tu as vraiment trop d'imagination, et en lisant ta seconde et derniĂšre phrase que tu manques d'imaginationtu devrais t'amuser Ă  lire d'autres paroles de chansons qui semblent totalement incohĂ©rentes dĂšs qu'on les dĂ©cortique ! Bref, libre Ă  toi de te presser le citron sur cette chansonnette !Oui, pour clore le dĂ©baton apprĂ©hende vraiment pas la lecture d'un texte de la mĂȘme on ne veut pas se donner la peine de comprendre, c'est plus facile de dire que c'est J'aime En rĂ©ponse Ă  margaux8657836 Bon sangje m'attendais Ă  un texte compliquĂ©, je ne vois pas oĂč est la difficultĂ© C'est quoi que tu ne piges pas ?allez, je te mets sur la voie aventure, sensualitĂ©, plaisir, zĂ©ro engagement, Ă©phĂ©mĂšre... Tu asun lien internet ou l on peut voir les paroles ?? J'aime En rĂ©ponse Ă  Lucia24490356 Tu asun lien internet ou l on peut voir les paroles ??Regarde dans un de mes posts un peu plus sur J'aime En rĂ©ponse Ă  Tcitron Oui, pour clore le dĂ©baton apprĂ©hende vraiment pas la lecture d'un texte de la mĂȘme on ne veut pas se donner la peine de comprendre, c'est plus facile de dire que c'est parles d'une chanson de Benjamin Bioley et non d'un "texte" littĂ©raire ou d'un poĂšme de Baudelaire ! enfin !! En tout cas, on n' est pas d'accord, c'est sĂ»r... une chanson, ça s'Ă©coute, ça permet de se laisser aller Ă  son imagination, un peu comme quand tu regardes un tableau mais avec les oreilles. Seulement, il y a des gens SOURDS. Perso, je ne parle pas de "traduction" comme tu le fais. Alors, maintenant moi d'une, ça ne m'intĂ©resse pas de faire une lecture d'une chanson mot Ă  mot, et de deux, cette chanson en particulier ne m'intĂ©resse pas suffisamment. J'aime En rĂ©ponse Ă  margaux8657836 Ridicule...tu parles d'une chanson de Benjamin Bioley et non d'un "texte" littĂ©raire ou d'un poĂšme de Baudelaire ! enfin !! En tout cas, on n' est pas d'accord, c'est sĂ»r... une chanson, ça s'Ă©coute, ça permet de se laisser aller Ă  son imagination, un peu comme quand tu regardes un tableau mais avec les oreilles. Seulement, il y a des gens SOURDS. Perso, je ne parle pas de "traduction" comme tu le fais. Alors, maintenant moi d'une, ça ne m'intĂ©resse pas de faire une lecture d'une chanson mot Ă  mot, et de deux, cette chanson en particulier ne m'intĂ©resse pas suffisamment. Allezbien le bonjour chez vous J'aime En rĂ©ponse Ă  Tcitron Regarde dans un de mes posts un peu plus sur ... tit clin d oeil 1 - J'aime Bah c est simpleune nana qui est avec un mariĂ© ou pris donc on embrasse pas parce que risque d aller plus loin...ampli d ailleurs Ă  mĂ©diter cette chanson, je me demande si c est pas le mieux pour pas ĂȘtre déçue J'aime En rĂ©ponse Ă  margaux8657836 PtĂȘtre parce quetu n'es pas fort en copiĂ© collĂ©...ConsternĂ©Bonjour, j'attĂ©ris ici car je cherchais quelques autres personnes Ă  la recherche des subtilitĂ©s de ce texte de Benjamin ! Certains se posent encore des questions !Pour les autres vous pouvez continuer de dormir oui ce n'est pas Rimbaud et en mĂȘme temps que pensez-vous que les premiers lecteurs disaient de lui ? "attend c'est pas Racine quand mĂȘme ! "Et le coup du copier-collĂ©, voilĂ  un brisage façon Brice de Nice d'une puissance argumentaire inouĂŻe !Courage Ă  ceux qui cherchent, mĂȘme s'il n'y a pas toujours de rĂ©ponse. L'important est de les autres repos, c'Ă©tait dĂ©jĂ  le cas ? Alors poursuivez. 1 - J'aime

Unoutil gigantesque pour un travail hautement dĂ©licat ! Les Parisiens l’ont dĂ©jĂ  aperçue depuis les ponts de la Seine : la grue qui doit servir au dĂ©montage de l’échafaudage endommagĂ© dans l’incendie de Notre-Dame se dresse Ă  son chevet, cĂŽtĂ© sud de la cathĂ©drale. Si sa cabine culmine Ă  74 mĂštres de haut, elle dispose d’un
Aller Ă  la page 1, 2, 3, 4, 5, 6 Morion de VentfroidComteSujet A coeur vaillant rien d'impossible [Ambre & Morion de Ventfroid] Lun 6 Mar 2017 - 2100 Ce premier jour de juin n'Ă©tait pas comme les autres. Il faisait dĂ©jĂ  suite Ă  l'exĂ©cution des bandits qui avaient enlevĂ© Morion et Ambre, quelques semaines plus tĂŽt. Les exĂ©cutions publiques Ă©taient trĂšs rares, sur le domaine. Elles Ă©taient nombreuses, dans les premiers mois qui avaient suivi l'arrivĂ©e de la fange. De nombreuses personnes avaient au dĂ©but tenter de profiter de l'hospitalitĂ© des Ventfroid pour tirer un maximum de profit, au dĂ©triment du bien commun, et de la sĂ©curitĂ© de tous. A cette Ă©poque-lĂ , Morion n'avait pas fait dans la dentelle. Toute personne qui contrevenait aux rĂšgles qui avaient Ă©tĂ© instaurĂ©es certes Ă  la va-vite, et donc mettait la sĂ©curitĂ© d'autrui en pĂ©ril, Ă©tait purement et simplement exĂ©cutĂ©e de façon sommaire, puis balancĂ©e sur les bĂ»chers qui flambaient alors jour et nuit, alimentĂ©s par les fangeux qui les attaquaient. L'aspect dissuasif d'une sanction aussi expĂ©ditive, annoncĂ©e Ă  la suite de procĂšs concis et brutaux, avait fait baisser drastiquement la tĂ©mĂ©ritĂ© de certains, et les avait poussĂ© Ă  se sauvegarder en mĂȘme temps qu'ils respectaient les rĂšgles de survie commune. Pour cette exĂ©cution lĂ , beaucoup s'Ă©taient rassemblĂ©s. Les travaux avaient Ă©tĂ© mis en berne le temps que cela avait durĂ© ; et contrairement Ă  beaucoup de jugements, oĂč les familles arboraient parfois un air dĂ©solĂ©, certains un air contrit ou mal Ă  l'aise, mĂȘme, personne n'avait pleurĂ© ni semblĂ© Ă©prouver la moindre compassion pour ces criminels. Les corps avaient Ă©tĂ© transportĂ©s au bĂ»cher funĂ©raire ensuite comme s'ils s'Ă©taient agi de simples paquets dĂ©nuĂ©s d'humanitĂ©. De tels hommes ne risquaient pas de recevoir la moindre once de respect de qui que ce soit. Car malgrĂ© les nombreuses difficultĂ©s que le domaine pouvait rencontrer pour se maintenir, tous ici, avec le temps, s'Ă©taient faits Ă  l'idĂ©e de s'unir pour la survie, et de faire montre de respect, de prĂ©venance et de biensĂ©ance pour que les choses se passent le mieux possible. La fange qui les cernait de toutes parts Ă©tait dĂ©jĂ  une Ă©preuve horriblement difficile. Les guerres intestines Ă©taient Ă  proscrire, l'Ă©rudition Ă©tait largement dispensable pour en arriver Ă  cette conclusion. Si l'Ă©vĂ©nement avait Ă©tĂ© marquant, cependant, ce n'Ă©tait pas ce qui rendait ce jour diffĂ©rent. A dire vrai, l'exĂ©cution terminĂ©e, tout un chacun considĂ©rait que l'affaire Ă©tait close, et enterrĂ©e pour de bon. Les malfrats avaient payĂ© le prix du sang, c'Ă©tait tout ce qui comptait. C'Ă©tait surtout pour un changement notable que l'on sentait une certaine excitation, au sein des diffĂ©rentes guildes. Quelques jours avant le jugement, Marianne, Ă  la demande de Morion, avait fait rĂ©amĂ©nager des salles inusitĂ©es au rez-de-chaussĂ©e du chĂąteau. Lorsque des hommes avaient Ă©tĂ© appelĂ©s pour mettre un peu d'ordre, que ce soit dans les couloirs, pour transporter des meubles, quelques uns, forcĂ©ment s'Ă©taient interrogĂ©s, et la rĂ©ponse n'avait pas tardĂ©. Des messagers mandatĂ©s par Marianne Ă©taient passĂ©s dans les guildes, pour informer les rĂ©fĂ©rents, qui avaient ensuite fait passer l'information au reste des sujets vivant sur le domaine ; Ă  compter du premier jour de juin, et toutes les premiĂšres semaines des mois qui venaient, tant que cela Ă©tait possible, Ambre de Ventfroid assurerait les sĂ©ances de dolĂ©ances. Les horaires Ă©taient prĂ©cises, uniquement le matin, en milieu de matinĂ©e, jusqu'au zĂ©nith. Un des meilleurs crĂ©neaux disponibles, Ă  la fois pour voir le plus de monde possible en fonction des demandes, mais Ă©galement pour ne point interrompre trop de tĂąches en cours. Beaucoup avaient lieu en pleine journĂ©e, dans l'aprĂšs-midi, et l'on Ă©vitait de travailler, mĂȘme pour de la pure administration, aprĂšs le coucher du soleil. Qui plus est, c'Ă©tait un essai. Les sƓurs de Morion et le comte lui-mĂȘme n'avaient guĂšre de temps Ă  accorder, mĂȘme quelques heures par jour, Ă  ce genre de choses. C'Ă©tait important, pourtant, car Ă  l'heure actuelle, les quelques plaintes ou litiges Ă©taient rĂ©glĂ©s Ă  qui mieux mieux par les rĂ©fĂ©rents, et remontĂ©s en haut lieu via leurs rapports. Ce n'Ă©tait pas efficace du tout. Ainsi, aprĂšs le rĂ©veil, une fois que Morion fut parti s'occuper des affaires qui concernaient le domaine, mais plus spĂ©cifiquement son poste d'hĂ©ritier, Marianne vint toquer Ă  la porte de la chambre d'Ambre, un peu aprĂšs neuf heures. Les dolĂ©ances Ă©taient censĂ©es commencer Ă  neuf heures et demie. Elle attendit que la comtesse lui donne l'autorisation d'entrer avant de pĂ©nĂ©trer dans la piĂšce, portant sous son bras quelques rouleaux de parchemins. Elle n'assisterait pas Ambre aujourd'hui. Elle avait, comme toujours, beaucoup Ă  faire, et laissait volontiers Ă  sa belle-sƓur le soin de s'occuper des relations entre les dirigeants, dont elle faisait dĂ©sormais partie, et le bas peuple. Elle avait mis un peu d'eau dans son vin depuis la derniĂšre fois qu'elles avaient discutĂ©, et semblait bien plus prompte Ă  aider la jeune rousse dans sa tĂąche, visant Ă  accompagner son mari Ă  la direction des terres. Bien plus qu'EstrĂ©e, dont le tempĂ©rament glacial n'avait guĂšre changĂ© depuis le dĂźner cauchemardesque qui avait eu lieu cinq jours plus tĂŽt. Ambre, navrĂ©e de vous importuner, mais il va falloir descendre. Le bureau dans lequel vous allez recevoir les plaignants a Ă©tĂ© correctement arrangĂ© tĂŽt ce matin. Elle s'approcha de la comtesse, et lui tendit les parchemins. J'ai consignĂ© ici les premiĂšres personnes qui ont Ă©tĂ© admises Ă  la sĂ©ance d'aujourd'hui. Vous serez assistĂ©e par un lettrĂ© pour gĂ©rer les passages, mais par la suite, c'est vous qui dĂ©signerez l'ordre de passage. »Ce qui Ă©tait, vis Ă  vis de Marianne, dĂ©jĂ  une marque de confiance de sa part. Elle tenait fort Ă  son travail et prĂ©fĂ©rait d'ailleurs le faire seule. Si elle considĂ©rait dĂ©jĂ  qu'elle pouvait laisser Ambre se dĂ©brouiller toute seule, alors c'Ă©tait un assez bon signe pour la comtesse. Elle lui laissa dĂ©couvrir le contenu des papiers, avant de l'inviter Ă  la suivre jusqu'en bas. Le bureau de dolĂ©ances en question, qui avait Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© spĂ©cialement pour elle, Ă©tait situĂ© dans l'aile est du chĂąteau, Ă  l'opposĂ© des bureaux de Marianne ou EstrĂ©e. Il y avait dĂ©jĂ  beaucoup de trafic lĂ  bas. Quand elles passĂšrent dans le corridor qui menait Ă  la piĂšce qui lui Ă©tait dĂ©sormais assignĂ©e, Ambre put voir que des bancs simples avaient Ă©tĂ© installĂ©s le long des murs, afin que patientent les personnes qui venaient porter rĂ©clamation Ă  la comtesse. Il y avait dĂ©jĂ  du monde, qui les saluĂšrent avec respect, alors qu'elles se dirigeaient vers le lieu de travail de l'Ă©pouse Ventfroid. La piĂšce Ă©tait confortablement amĂ©nagĂ©e. Le bureau Ă©tait un meuble simple, bien que massif, sur lequel avaient Ă©tĂ© disposĂ©s tous les ustensiles nĂ©cessaires pour un travail administratif. Encrier, plumes, rouleaux de parchemins vierges
 En raison de la grossesse d'Ambre, et de l'Ă©tat de son dos, le fauteuil choisi Ă©tait confortable et lui laissait le dos libre de tout appui, et quand bien mĂȘme elle dĂ©ciderait de se laisser aller contre le dossier, il Ă©tait molletonnĂ©, et recouvert de velours. A droite de l'entrĂ©e, le mur Ă©tait percĂ© d'une fenĂȘtre donnant sur le domaine. Encore qu'Ă  cet endroit-lĂ , il n'y avait aucune construction. Les falaises Ă©taient proches, et c'Ă©tait Ă  cet endroit, quelques pas vers le nord plus loin, que se trouvait la terrasse que Morion affectionnait tant, sur laquelle Ambre avait eu l'Ăąpre discussion avec EstrĂ©e. A gauche, des Ă©tagĂšres Ă©taient disposĂ©es, et contenaient des tas de documents qui pourraient ĂȘtre utiles Ă  Ambre. Des copies des registres de Marianne les plus rĂ©cents, notamment ceux qui rĂ©pertoriaient le nom et la profession des hommes du domaine. Il y avait Ă©galement des cartes, des plans des guildes et des dĂ©tails concernant les rendements des terres, l'Ă©tat des stocks
 Morion travaillait Ă  recopier les documents que j'Ă©cris depuis que vous avez annoncĂ© vouloir prendre les dolĂ©ances Ă  votre charge
 Il y passait le plus clair de son temps, je crois. Elle eut un petit sourire. Vous savez comme il peut se montrer acharnĂ© quand il travaille
 Oh. »Elles venaient d'entrer, mais elles n'Ă©taient pas seule. Un occupant Ă©tait dĂ©jĂ  prĂ©sent, et les observait, proche de la fenĂȘtre depuis laquelle il leur jetait un regard mesquin. Ses rides jetaient des ombres sur son visage, les creusant encore plus, Ă  la lumiĂšre du soleil qui brillait Ă  l'extĂ©rieur. Par jeu de lumiĂšre, ses cheveux aux teintes blanches et argentĂ©es brillaient encore plus de cette maniĂšre. Ses yeux bleus brillaient de bienveillance. Dame Ambre, Dame Marianne, dit Talen en inclinant le buste. Je viens de finir de mettre de l'ordre dans tous ces papiers, justement. Je suis heureux de voir que vous allez bien et semblez en forme pour travailler, dit-il, le regard fixĂ© sur Ambre. »Anticipant sa question, qui serait lĂ©gitime, d'ailleurs, il eut un geste complaisant Ă  l'adresse de Marianne, puis reprit la parole. J'Ă©tais en patrouille toute la nuit d'hier, aussi Dame EstrĂ©e m'a aujourd'hui assignĂ© aux guildes. Sachant venue vos premiĂšres dolĂ©ances, j'ai tenu Ă  ĂȘtre le premier Ă  vous assister. Je ne pourrai toujours ĂȘtre lĂ , mais quand ce sera possible... »Marianne leur sourit Ă  tous les deux, puis s'inclina. Bien. Je vais vous laisser tous les deux, les sĂ©ances vont bientĂŽt dĂ©buter. Bon courage Ă  vous Ambre. Nous nous retrouverons cet aprĂšs-midi, si j'en crois les paroles de mon frĂšre. »DolĂ©ances - SĂ©ance n° ce qui concernait les affaires Ă  rĂ©gler dans la matinĂ©e, les premiers papiers concernaient des litiges qui nĂ©cessitaient un arbitrage urgent. Il n'y avait pas d'officier de justice, aucun magistrat. La loi fĂ©odale Ă©tait totale ici, mais faute de temps, des hommes ou femmes, les rĂ©fĂ©rents, qui n'Ă©taient pas du tout qualifiĂ©s pour rendre un quelconque jugement, se retrouvaient souvent obligĂ©s de jouer le rĂŽle de juge, donnant parfois lieu Ă  des consĂ©quences gĂȘnantes. Rixes, insultes, parfois mĂȘme du vandalisme, certains contestataires n'hĂ©sitaient pas Ă  se venger de ceux qu'ils estimaient ĂȘtre l'origine de leur tourment. Et Morion, comme ses sƓurs, n'avaient pas forcĂ©ment le coeur, ni le temps de jouer aux miliciens, et sacrifier des bras potentiels malgrĂ© leur mauvais comportement Ă©tait de toute façon une mauvaise idĂ©e. Citation Litiges Affaire 1 Albertin contre Marcel Chaque paysan dispose d'une rĂ©serve de cĂ©rĂ©ales personnelles, pour ses rations de nourriture. Albertin, membre de la guilde des paysans, tout comme Marcel, pense et accuse ce dernier d'avoir volĂ© l'un de ses sacs. Rolland, le rĂ©fĂ©rent, passe trop de temps au champs pour mener lui-mĂȘme une enquĂȘte. Le vol est un crime bien plus grave qu'Ă  Marbrume, sur le domaine. Les ressources sont rares, et les rations trĂšs soigneusement calculĂ©es par 1 DĂ©terminer la vĂ©racitĂ© de chacune des versions des faits. Objectif Objectif 2 Rendre un jugement dĂ©finitif. Talen lut rapidement le parchemin qui arrivait en premier sur la pile, et se tourna vers Ambre, lui indiquant qu'elle pouvait prendre place sur le fauteuil. Bien. La premiĂšre affaire concerne deux paysans, dont l'un est accusĂ© d'avoir volĂ© un sac de grains Ă  l'autre. Si c'est vrai
 Il soupira. Le vol est trĂšs, trĂšs sĂ©vĂšrement puni, ici. Nous devrions les Ă©couter d'abord, cependant. Je les fais entrer tout de suite. » Citation Les parties du litiges♩ Albertin - CaractĂšre Timide, anxieux, gĂ©nĂ©reux, Humeur actuelle RĂ©ceptivitĂ© 4/10.♩ Marcel- CaractĂšre ExubĂ©rant, pingre, acharnĂ©, Humeur actuelle RĂ©ceptivitĂ© 8/10. Les deux paysans entrĂšrent dans la salle, s'inclinant Ă  l'entrĂ©e face Ă  Ambre, et se prĂ©sentĂšrent chacun leur tour. L'on sentait dĂ©jĂ  que la tension rĂ©gnait fortement entre eux deux. Surtout Albertin, qui semblait se faire violence pour ne pas lui allonger son poing dans la figure. Marcel, lui, restait impassible, mais ne regardait pas son comparse dans les yeux, et observait avec calme et une certaine espiĂšglerie la comtesse, les yeux referma la porte derriĂšre eux, et resta devant celle-ci. Il Ă©tait habillĂ© comme au manoir, Ă  la diffĂ©rence que cette fois, son Ă©pĂ©e brillait Ă  son flanc. Il restait un homme d'armes, et qui plus est, le protecteur attitrĂ© de sa maĂźtresse. Lorsque l'on demanda ce qui les amenait, ce fut Albertin qui prit la parole en premier. C'est cet espĂšce d'escroc, madame ! Nous savons tous qu'on a des rations strictes, que l'reste, c'est pour l'Ă©change et la semence. Mais nan, dĂ©jĂ  que payer son impĂŽt, ça lui file des boutons, faut qu'en plus il vienne piquer le blĂ© des autres. J'Ă©tais aux champs toute la journĂ©e, hier, et pas lui. Et les autres de not' baraque, y z'Ă©taient pas chez eux, aujourd'hui. Y'avait qu'lui. »Marcel soupira d'exaspĂ©ration, et secoua la tĂȘte, presque dĂ©pitĂ© par le comportement de son collocataire. Ne le croyez pas, madame. C'est vrai, j'Ă©tais pas aux champs. J'Ă©tais de corvĂ©e de bergerie, j'ai passĂ© ma journĂ©e Ă  l'enclos Ă  bĂȘtes. Mais j'ai rien piquĂ© du tout, faut me croire. Vous voulez que j'aille oĂč avec ça de toute façon ? On crĂšche tous ici, dans le mĂȘme coin, c'est mĂȘme pas comme si je pouvais en faire quelque chose ! » Citation Tests de Persuasion♩ Albertin - Charisme 7. RĂ©ussi. ♩ Ambre de Ventfroid - Endurance 15. RatĂ©. Vu l'Ă©chec, tes tests d'observation seront fait sans utiliser les capacitĂ©s liĂ©es, et prendront un malus de -2. ♩ Marcel - Charisme 19. RatĂ©.♩ Ambre de Ventfroid - Endurance 2. RĂ©ussi. Citation Test d'observation prĂ©liminaire♩ Ambre de Ventfroid - Intelligence pour Discernement +1CapacitĂ© non comptĂ©e sur sur Albertin pour ton Ă©chec -2.Jet 1 Albertin 16. RatĂ©. Jet 2 Marcel 9. a l'air tout Ă  fait convaincu de ce qu'il avance. Sa colĂšre ne semble pas feinte, ni son ressentiment. Il n'hĂ©site pas, ses mains sont serrĂ©es de colĂšre, et il observe Ambre dans les yeux. Concernant Marcelin, il observe les dĂ©tails de la piĂšce, et semble surtout ennuyĂ© de se retrouver ici, alors qu'il aimerait probablement ĂȘtre Ă  l'extĂ©rieur. Aucun signe flagrant de mensonge chez lui, mais aucun signe de forte conviction non plus. Citation VoilĂ , la premiĂšre affaire est engagĂ©e ! Alors, pour pimenter un peu les choses
 Tu disposes d'une ressource propre Ă  Ambre. L'Estime, dont les chiffres varient entre -10 et 10. Actuellement, ce chiffre est Ă  1. Le but Ă©tant bien Ă©videmment de le faire monter
 Et de le conserver le plus haut possible. Plus il est haut, plus les hommes et femmes seront susceptibles d'approuver des choix qui peuvent paraĂźtre injustes. Une action bien acceptĂ©e fera augmenter ce chiffre, une mauvaise le fera baisser. A -10, Ambre sera haĂŻe, Ă  10, Ă  l'inverse, adorĂ©e. D'autres variables interviendront par la suite, pour l'instant, c'est une petite introduction qui va surtout servir Ă  te mettre en place. En premier lieu
 Tu as carte blanche pour ta rĂ©ponse. Bon courage p Ambre de VentfroidFondatriceSujet Re A coeur vaillant rien d'impossible [Ambre & Morion de Ventfroid] Mar 21 Mar 2017 - 1742 Ce jour Ă©tait particulier. DĂ©jĂ , il s’agissait du premier oĂč la comtesse pouvait respirer plus librement les criminels responsables de son enlĂšvement du mois dernier Ă©taient dĂ©sormais morts. JugĂ©s la veille, ils avaient tous Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©s, sans exception. Ambre avait Ă©tĂ© Ă©tonnĂ©e de constater le nombre de personnes qui Ă©tait venu y assister. Le temps Ă©tait une ressource prĂ©cieuse au comtĂ©, et tous ne pouvaient pas se permettre de quitter leur travail pour assister Ă  la justice du domaine. Cela Ă©tant, tous ceux qui le pouvaient Ă©taient venus, et certains avaient mĂȘme redoublĂ© d’efforts pour abattre plus de travail et ĂȘtre libre plus tĂŽt pour ladite exĂ©cution. L’ambiance du moment avait Ă©tĂ© frappante. En effet, l’ambiance divergeait Ă©normĂ©ment des exĂ©cutions commises Ă  la citĂ©, les exĂ©cutions Ă©taient toujours source de spectacle. La pĂšgre regardait les charrettes transportant les condamnĂ©s remonter la rue jusqu’à la grand-place, jetant victuailles et insultes Ă  la face des criminels. Parfois les miliciens chargĂ©s de surveiller l’évĂšnement se prenaient eux-mĂȘmes des morceaux de lĂ©gumes pourris mal lancĂ©s, mais ils le tolĂ©raient bien durant ces exactions publiques. Les criminels Ă©taient lynchĂ©s, et la pendaison ou la dĂ©capitation qui allait se faire Ă©tait vivement encouragĂ©e et apprĂ©ciĂ©e. L’on se satisfaisait la rage au ventre de voir mourir le violeur, le meurtrier ou la sorciĂšre. Ici, cela avait Ă©tĂ© diffĂ©rent. La famille gouvernante n’était pas rĂ©putĂ©e pour son exubĂ©rance, bien au contraire, et cela semblait avoir dĂ©teint sur la populace ici-bas. A moins que les conditions de vie prĂ©sentes sur ces terres avaient dĂ©finitivement retirĂ© Ă  toute personne l’envie de s’amuser de morts supplĂ©mentaires, quand bien mĂȘme il s’agissait de meurtriers. Personne n’avait jetĂ© des objets au visage des condamnĂ©s ou hurlĂ© dans un brouhaha insupportable. Tout au plus un murmure de mĂ©pris ou de sombre satisfaction avait parcouru l’assemblĂ©e lorsque Morion avait pris la parole pour affirmer devant les dieux les crimes de ces hommes avant de leur retirer dĂ©finitivement la vie. Personne ne regretterait leur perte, au domaine. Et la comtesse avait Ă©tĂ© frappĂ©e par le calme des serfs. DĂ©sormais c’était elle qui Ă©tait calme. SoulagĂ©e d’un poids. Ces hommes morts, ils ne pourraient plus jamais lui faire de mal. Pas comme s’ils avaient pu, enfermĂ©s dans les geĂŽles du chĂąteau comme ils l’avaient Ă©tĂ©. Mais c’était diffĂ©rent. Maintenant, ils pourrissaient certainement dans un endroit du domaine d’AnĂŒr, oĂč la dĂ©esse devait se faire une joie de les torturer de son trident. Ce soulagement devait ĂȘtre remplacĂ© par un autre type d’angoisse cela dit. Parce que ce jour Ă©tait particulier pour d’autres raisons Ă©galement. C’était le premier jour, officiellement, oĂč elle prenait ses fonctions de comtesse au cĂŽtĂ© de son Ă©poux. Jour oĂč elle allait recevoir le peuple, et tenter de satisfaire leurs attentes. Ambre avait maintes fois assistĂ© aux dolĂ©ances que son propre pĂšre accordait Ă  son peuple, Ă  l’époque oĂč le flĂ©au n’existait pas, mais elle avait toujours Ă©tĂ© uniquement observatrice. Elle commentait le dĂ©roulement des sĂ©ances parfois, Ă©changeant avec son pĂšre et son frĂšre sur les sujets qui avaient Ă©tĂ© Ă©voquĂ©s ce jour. Mais jamais elle n’avait pris de dĂ©cisions Ă  leurs places. Elle se contentait d’observer et d’écouter sĂ©rieusement. Aujourd’hui, elle ne pourrait pas se permettre de simplement Ă©couter et observer. Elle serait celle qui mĂšnerait les entrevues et celle qui prendrait les dĂ©cisions. Seule. Terriblement seule. En effet, pour son premier jour, ni Morion, ni Marianne, ni EstrĂ©e ne serait lĂ  pour l’assister. Elle Ă©tait jetĂ©e dans la fosse aux lions, et bien qu’elle savait parfaitement qu’ils avaient dĂ©jĂ  trop de tĂąches et que c’était elle qui avait demandĂ© Ă  mener ces entrevues, un brin d’angoisse l’avait prise depuis le lever du jour. Les autres avaient soit assez de confiance en elle pour la laisser complĂštement seule, soit assez d’indiffĂ©rence pour se dĂ©sintĂ©resser totalement du dĂ©roulement de la journĂ©e. Il n’était pas difficile d’accorder aux uns les autres ces la comtesse serait complĂštement seule, et alors qu’elle terminait d’ajuster les derniĂšres mĂšches de ses cheveux au-dessus de sa nuque, elle se regarda longuement dans le miroir. L’air de dire mais qu’as-tu fait ma pauvre ». Si sa robe Ă©tait de facture bien plus modeste que celles qu’elle possĂ©dait Ă  Marbrume, ses bijoux achevaient de marquer son rang ici. Son alliance Ă  la main gauche, l’anneau des Ventfroid Ă  la main droite, et son collier de noces autour du cou. Ces Ă©lĂ©ments qu’elle ne quittait jamais – sauf le collier pour la nuit – Ă©taient devenus une marque de son chambrĂ©e Ă©tait vide de la prĂ©sence de son Ă©poux, dĂ©jĂ  parti Ă  ses affaires. A son Ă©tonnement, ce fut Marianne qui vint chercher la comtesse pour la prĂ©venir que les lieux pour les dolĂ©ances Ă©taient prĂȘts. Depuis son altercation avec EstrĂ©e, la jeune rousse n’avait point passĂ© de temps avec les sƓurs Ventfroid de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, et Marianne avait sĂ»rement notĂ© la mauvaise humeur de la comtesse. Elle qui d’ordinaire n’hĂ©sitait pas Ă  louvoyer au salon aprĂšs le repas pour passer du temps avec Marianne tout en tricotant ou en dessinant, elle n’était pas restĂ©e accessible depuis un moment. Devenue de piĂštre compagnie, la comtesse espĂ©rait que cela changerait Merci Marianne. J’aimerais aussi vous dire
 commença doucement Ambre alors qu’elles Ă©taient sur le chemin. LĂ©gĂšrement hĂ©sitante, la comtesse continua. J’espĂšre que nos rapports resteront intacts malgrĂ© l’avis divergent de votre comtesse savait que Marianne Ă©tait trĂšs proche de sa sƓur, et avait pour elle ce caractĂšre enjouĂ© et sensible que les autres Ventfroid ne possĂ©daient pas. Aussi Ambre ne s’étonnerait pas beaucoup si Marianne se mettait Ă  ĂȘtre distante avec elle, et solidaire avec sa sƓur. Elles passĂšrent le couloir de l’aile est menant au bureau des dolĂ©ances. D’un coup d’Ɠil, Ambre nota les bancs d’attente pour ceux demandant audience, et une nouvelle sensation d’angoisse lui prit le Ă©coutait d’une oreille Ă  la fois attentive et distraite les explications de Marianne. Le fait que Morion ait passĂ© son temps Ă  recopier les rapports de la brune Ă©tait d’ailleurs une perte de temps aux yeux de la comtesse. Elle Ă©tait flattĂ©e et heureuse que son Ă©poux prenne Ă  cƓur ses premiers pas dans la vie au domaine, mais n’aurait-il pas Ă©tĂ© plus simple pour lui de donner cette tĂąche Ă  un scribe ? Lorsqu’elles atteignirent enfin le bureau, le visage de la comtesse s’éclaira de joie. RestĂ©e un instant surprise, elle venait tout juste de prendre la pleine mesure de la prĂ©sence de Talen. Sur le coup, elle eut presque envie de le prendre dans ses bras, mĂȘme si elle n’en fit rien bien lui manquait. Contrairement au manoir de l’Esplanade, il n’était que peu souvent au chĂąteau. Ambre ne le voyait qu’en coup de vent, parfois lorsqu’ils partageaient un repas. Mais sa prĂ©sence rassurante et familiĂšre au dĂ©tour d’un couloir n’existait plus. Aussi, lorsqu’elle comprit que Talen serait le lettrĂ© » qui l’assisterait en ce premier jour, elle fut grandement soulagĂ©e. EpĂ©e Ă  la ceinture, il lui servirait aussi de garde du corps, en plus des quelques hommes postĂ©s en surveillance Ă  l’entrĂ©e du bureau. C’était parfait. Au moins ne serait-elle pas complĂštement seule au beau milieu d’inconnus pour les premiĂšres sĂ©ances. Elle ne put pas le dire mais elle fut grandement reconnaissante au domestique. Il venait de la soulager d’un poids Ă©norme sans mĂȘme s’en rendre Merci de votre intĂ©rĂȘt pour mes dĂ©buts, commenta la comtesse, les yeux toujours pĂ©tillants de joie et de soulagement. Vous m’avez manquĂ©, Talen. Merci Ă  vous de m’avoir accompagnĂ©e Marianne, l’on se retrouvera cet aprĂšs-midi si le programme de la journĂ©e ne se trouve pas perturbĂ©, Le dos raide, les Ă©paules droites, Ambre tentait de mĂ©nager son dos en cette matinĂ©e de dolĂ©ances qui allait dĂ©buter. Talen se trouvait debout Ă  cĂŽtĂ© d’elle, lĂ©gĂšrement en retrait, tandis qu’elle consultait les premiers documents dĂ©crivant briĂšvement les dĂ©tails de la premiĂšre affaire qu’ils allaient traiter. Deux paysans de la guilde agricole, l’un accusant l’autre de vol. La diffĂ©rence de prĂ©sentation entre les deux hommes fut frappante. Albertin, celui qui avait perdu son sac de grain, Ă©tait – sans surprise – en colĂšre. L’autre en revanche possĂ©dait un calme contradictoire avec le mĂ©fait dont il Ă©tait accusĂ©. Talen l’avait confirmĂ© Ă  la comtesse juste avant qu’ils ne se prĂ©sentent Ă  eux le vol au comtĂ© Ă©tait puni de mort. Aussi, cette dĂ©sinvolture inhabituelle fut notĂ©e par la comtesse et rangĂ©e dans le coin de son esprit jusqu’à ce qu’il faille y repenser en temps et en heure. Ambre Ă©couta en silence les paroles de chacun des deux hommes. Un pli concentrĂ© barrait doucement la zone entre ses sourcils, et elle laissa passer quelques instants de rĂ©flexion avant de rĂ©pondre. Plusieurs Ă©lĂ©ments manquaient Ă  sa comprĂ©hension de la situation, et en l’état actuel, les accusations d’Albertin contre son colocataire Ă©taient bien dans les papiers et les comptes-rendus de Marianne mis Ă  sa disposition grĂące au recopiage de Morion – reconnaĂźtre la courbe des lettres de son Ă©poux lui fit du baume au cƓur l’espace d’une seconde –, la jeune femme les fit attendre encore, le temps qu’elle trouve l’information qu’elle cherchait. AprĂšs avoir laissĂ© courir ses yeux sur de nombreuses lignes, un Ă©clat dans ses prunelles montra qu’elle avait trouvĂ©. Enfin, elle termina par relever les yeux vers les deux Vous accusez Marcel d’ĂȘtre le seul prĂ©sent dans votre maison ce jour-lĂ , Albertin, raison pour laquelle il apparait ĂȘtre le premier suspect si je comprends bien. N’est-ce pas un peu trop Ă©vident de voler le jour mĂȘme oĂč les soupçons retomberaient sur soi ? Elle laissa passer un silence de quelques secondes, le sourcil levĂ© avec un air curieux, laissant le temps Ă  Albertin de rĂ©flĂ©chir Ă  ses propres accusations. Vous ĂȘtes plusieurs Ă  vivre dans la mĂȘme maisonnĂ©e, et partir au travail la journĂ©e n’empĂȘche en rien vos autres colocataires de voler. L’un d’entre eux aurait pu emporter un sac en partant dehors le matin, pour le cacher dans un endroit sĂ»r, peut-ĂȘtre. Aussi, avez-vous d’autres raisons qui vous poussent Ă  accuser Marcel en particulier ? Je dois vous avouer que vos raisons sont un peu maigres Ă  l’heure les papiers qu’elle avait fouillĂ©s un peu plus tĂŽt, elle fit osciller la feuille avec un lĂ©ger De plus, les rapports d’affectation confirment bien que Marcel Ă©tait censĂ© travailler Ă  la bergerie ce jour-lĂ . Son regard se tourna vers Marcel. Existe-t-il des tĂ©moins de votre besogne Ă  la bergerie le jour concernĂ©, Marcel ? Ne mentez pas, il sera aisĂ© pour moi de demander Ă  votre rĂ©fĂ©rent si vous avez bien fait votre travail ce les papiers sur le bureau, la jeune rousse lissa machinalement une feuille du plat de la main. Son regard se releva instinctivement sur Je vous trouve bien dĂ©sinvolte pour le crime dont on vous accuse. Pourtant devez-vous ĂȘtre au fait qu’au domaine le vol est puni par la mort ? Etes-vous si certain du manque de preuves qui pourrait vous rendre coupable, ou la mort vous indiffĂšre-t-elle ? Puis son visage se tourna de nouveau vers Albertin. Et vous, de mĂȘme, ĂȘtes-vous conscient du sort de cet homme si vos accusations sont entendues ? Vous perdrez un colocataire et une main d’Ɠuvre de choix pour votre guilde, et sa perte augmentera vos propres tĂąches quotidiennes. Je gage que vous ĂȘtes tous les deux conscients de la gravitĂ© des consĂ©quences de votre affaire et assez intelligents pour ne pas tenter de mentir Ă  vos suzerains pour des querelles personnelles ?LĂ , son regard se fit plus acĂ©rĂ©. Morion de VentfroidComteSujet Re A coeur vaillant rien d'impossible [Ambre & Morion de Ventfroid] Mer 22 Mar 2017 - 1620 Talen observait la scĂšne, restant rĂ©solument silencieux, et s'en tenant Ă  son rĂŽle de greffier, pour l'heure. D'ordinaire, lorsque ses maĂźtres discutaient ou Ă©voquaient un sujet ouvert au dĂ©bat, il n'hĂ©sitait jamais longtemps pour glisser une remarque ou deux, guidĂ©es par l'expĂ©rience et ses propres rĂ©flexions. Mais pas cette fois. Morion avait Ă©tĂ© trĂšs clair Ă  ce sujet lorsqu'il avait demandĂ© Ă  Talen d'assister sa femme en ce premier jour si elle lui demandait conseil, il pouvait bien Ă©videmment rĂ©pondre, mais tant qu'elle ne demandait rien, il avait l'interdiction de la guider dans ses choix. Et il n'avait pas fait cela pour pĂ©naliser son Ă©pouse, bien au contraire. Il savait qu'elle-mĂȘme ne demanderait rien, en tout cas pas en prĂ©sence des serfs du domaine. De quoi aurait-elle l'air si Ă  la premiĂšre difficultĂ© elle quĂ©mandait l'aide des anciens, aprĂšs avoir si vivement affirmĂ© sa volontĂ© de se dĂ©brouiller par elle-mĂȘme, en bonne comtesse de Ventfroid ? De pas grand-chose, c'Ă©tait clair. Aussi, Talen avait Ă©tĂ© complĂštement d'accord avec son seigneur, et s'il pouvait penser quelque chose de l'Ă©change, il ne disait rien. Ce qui n'Ă©tait pas le cas des deux protagonistes. Albertin Ă©mit un grognement sourd et haussa lĂ©gĂšrement les Ă©paules. On est tous trĂšs occupĂ©s, et y'en a pas un qui traĂźne du cĂŽtĂ© de la guilde en dehors des bergers pendant la journĂ©e ma Dame. Si c'est si Ă©vident, c'est normal, il Ă©tait le seul Ă  pouvoir piquer les grains. Il jeta un regard vindicatif Ă  Marcel. Et ça serait pas la premiĂšre fois qu'un truc du genre arrive. » Il secoua doucement la tĂȘte. C'est un pingre, ma Dame. MĂȘme les impĂŽts ça lui colle des boutons alors que tout le monde doit les payer, et le fais. DĂšs que le jour du tribut arrive, il est malade, y'a un truc qui se passe, il trouve plus ses grains, bref. 'Sieur Martelle s'est souvent beaucoup Ă©nervĂ© contre lui. Alors grapiller un peu de rab franchement
 Ca serait pas Ă©tonnant du tout. Puis Ă  part ma femme, mes gosses et les siens, y'a personne d'autre dans notre case, j'vois pas pourquoi ma femme irait piquer mes grains, alors que c'est les siens aussi, 'voyez ? »Marcel semblait agacĂ©, pour sa part. Pas spĂ©cialement contre l'accusation elle-mĂȘme, mais plus par le comportement irritĂ© de son collĂšgue, et la fixette qu'il faisait sur le cĂŽtĂ© radin de sa personne. Oui, effectivement, il n'aimait pas payer chaque mois. Morion avait imposĂ© cette dĂźme en nourriture et en argent parfois pour le bien du domaine, mais il en avait jamais vu la couleur, de ces ressources. Elles partaient
 Et ? Et rien. Il soupçonnait que c'Ă©tait juste pour qu'ils puissent mieux s'engraisser, dans le chĂąteau, c'Ă©tait tout. Alors qu'en rĂ©alitĂ©, tout ce qui Ă©tait prĂ©levĂ© Ă©tait soit redistribuĂ©, soit utilisĂ© comme monnaie d'Ă©change avec les places extĂ©rieures, comme la citĂ© ou mĂȘme le plateau. Les serfs n'Ă©tant pas forcĂ©ment tenu au courant de toutes les transactions, le doute se comprenait – mĂȘme si le manque de confiance, lui, moins. Demandez au bĂȘtes, elles m'ont toutes vues ce jour-lĂ , soupira Marcel, la main grattant sa barbe peu entretenue. DĂ©solĂ©, corrigea-t-il en inclinant le buste en signe d'excuse. La guilde est Ă©loignĂ©e alors peu de personnes ont pu me voir ce jour lĂ . Mais les bĂȘtes ont bien Ă©tĂ© paĂźtre, et la paille entretenue, les chiures Ă©vacuĂ©es et rassemblĂ©es au compost. Ca vous pouvez le vĂ©rifier par contre. » Citation RĂ©sistance des plaignants♩ Ambre de Ventfroid - Charisme 18.♩ Albertin - Endurance 11.♩ Marcel - Endurance 1 10. 2 18. RĂ©ussi _< Je
 Nous ne le volons pas. C'est mon frĂšre qui s'occupe de ça, moi je suis pas vraiment dans le coup
 Enfin je sais que le stock qu'on reçoit, tout part pas en constructions. Mais s'il vous plaĂźt, madame. Enfermez-moi. Qu'il pense que je n'ai rien dit. Mettez-moi aux fers. »La demande Ă©tait une vraie supplique, pour le coup. Il avait parlĂ©, mais du bout des lĂšvres, osant Ă  peine regarder Ambre, et la simple idĂ©e d'avoir le droit de retourner Ă  sa guilde semblait l'effrayer. Aussi, il prĂ©fĂ©rait encore la sĂ©curitĂ© des geĂŽles, plutĂŽt que d'avoir affaire aux autres. _____ Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Parolesde La ceinture par Maximilien Philippe. Entrez le titre d'une chanson, artiste ou paroles. PalmarĂšs de paroles CommunautĂ© Contribuer Business. Connexion S’inscrire. ParolesLa

Paroles de la chanson La ceinture par Elodie FrĂ©gĂ© Non pas sur la bouche mĂȘme si c'est louche puisque ma langue a le goĂ»t de ta vertu de ton honneur perdu non pas sur les lĂšvres mĂȘme si j'en rĂȘve mĂȘme si je tremble et bien que mon coeur soit nu mon Ăąme est revĂȘtue de pudeur et d'impudence sans te faire offense mieux n'vaut pas tenter sa chance rien ne dure au dessus de la ceinture non pas sur la bouche mĂȘme sous la douche mĂȘme si c'est dur je te mordrai c'est promis tous les coups sont permis non pas sur les lĂšvres mĂȘme pas en rĂȘve Ă  cent pour sĂ»re ou tu mangeras ton pain gris mon coeur est endurci ne tire pas sur l'ambulance garde la potence plus rien n'a plus d'importance rien ne dure au dessus de la ceinture non pas sur la bouche je sais je touche le fond du lac le temps des cerises est mort le diable est dans le corps non pas sur les lĂšvres non c'est pas miĂšvre c'est pas le trac mais je prĂ©fĂ©re me donner crue sans revers ni refus rendons nous Ă  l'Ă©vidence tout est cuit d'avance mieux n'vaut pas tenter sa chance rien ne dure au dessus de la ceinture non pas sur la bouche je sais c'est louche puisque ma peau a l'odeur de ton odeur au dehors il fait chaud non pas sur les lĂšvres jamais de trĂšve et pas d'assaut le bonheur est dans la pente entre le sol et le ventre entre l'oubli et l'oubli mĂȘme l'oiseau du paradis joue plutĂŽt jeux interdits rien ne dure au dessus de la ceinture.

ggsQ.
  • 5sv23klfgp.pages.dev/248
  • 5sv23klfgp.pages.dev/156
  • 5sv23klfgp.pages.dev/391
  • 5sv23klfgp.pages.dev/334
  • 5sv23klfgp.pages.dev/137
  • 5sv23klfgp.pages.dev/347
  • 5sv23klfgp.pages.dev/278
  • 5sv23klfgp.pages.dev/473
  • rien ne dure au dessus de la ceinture paroles