Petitmatériel nécessaire :– un marteau (disponible ici) – colle à bois et pâte à bois (disponible ici) – de la mousse. – de la toile forte en Jute dès 8 €/m (disponible ici) – de la sangle dès 1€ / m (disponible ici) – Un fauteuil !Matériel

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Rajeunir un fauteuil vintage des années 50 Publié le 10/01/2012 - Modifié le 26/08/2013 Avec son revêtement usé, ce fauteuil d’un autre siècle ne payait pas de mine… Sans pour autant mériter de finir au rebut, car il possède un charme intemporel qui se marie bien avec le mobilier actuel. Aussi, tel Cendrillon le soir du grand bal, un nouvel habit en fera le roi du salon! Conseil pratique Quel tissu ? Le choix du tissu d’habillage est déterminant. Les carreaux type madras ou écossais exigent plus de métrage puisqu’il faut faire coïncider les motifs de l’assise et du dossier, afin d’éviter les décalages disgracieux. - Les petits motifs répétitifs floraux, par exemple réclament une parfaite mise à niveau, de même que les unis dont la trame saute aux yeux. - Les gros motifs offrent plus de facilité, à condition que le décor principal se retrouve dans l’assise et le dossier. Dans tous les cas, le tissu doit être assorti à la décoration de la pièce où trônera le fauteuil, car il attirera le regard! Une structure solide Les “années 50” ont apporté des innovations de taille comme le plastique d’ameublement recouvrant ce fauteuil. Mais il vieillit mal, se ternit, se fendille et n’est pas très accueillant. Le siège possède, en revanche, des lignes élancées, d’un intérêt esthétique évident. Sa structure en chêne a bien passé les épreuves du temps mais l’assise, sommaire, réclame un peu de souplesse. Rien de surprenant pour ce style de mobilier qui prônait la fonctionnalité et la sobriété des matériaux et du confort. Pour le rendre plus moelleux, le siège sera molletonné avant d’être recouvert d’un tissu haut en couleurs, fixé à l’aide de clous de tapissier. Deshabillez-le... Le fauteuil est dévêtu en retirant toutes les semences rouillées avec un tournevis ou un ciseau à dégarnir. Opération délicate qui doit s’effectuer de manière à conserver l’habillage intact. Annoté et mis de côté, afin d’en reconnaître chaque partie, celui-ci servira de patron. Si la structure a bien tenu, l’humidité a néanmoins grisonné le bois et rouillé les clous maintenant le cadre. De plus, le vernis des accoudoirs et des pieds est écaillé. Un traitement adapté à chaque problème est donc de rigueur… Le vernis est ainsi poncé et décapé aux assemblages. Puis un dégriseur "Net-Trol" de Durieux est appliqué sur les parties ternies. Quant aux clous de tapissier, ils sont frottés à la brosse métallique avant d’être protégés par une peinture noire antirouille Hammerite, Julien…. Sur les bois, l’application d’un produit de traitement insecticide et fongicide précède la finition. Celle-ci consiste en une imprégnation, jusqu’à saturation, d’un mélange de 70% d’huile de lin et de 30% d’essence de térébenthine. Cette option donne au chêne un ton miel très chaleureux qui se patinera naturellement au fil du temps. Il est bien entendu possible de teinter, vernir, cirer ou encore céruser les bois de votre fauteuil au gré de vos envies ! Mais surtout pas trop vite... La carcasse mise à nu révèle ses secrets de fabrication. Le confort de l’assise et du dossier sont assurés par des ressorts en serpentin, peu courants en tapisserie artisanale. Mais la fabrication industrielle les utilise abondamment, pour des raisons de coût bien sûr. Inconvénient ils sont trop durs et n’offrent pas l’esthétique arrondie due aux ressorts à boudin traditionnels. D’autant qu’ils sont faiblement rembourrés en crin. Le problème est résolu en superposant plusieurs épaisseurs de molleton entre ressorts et crin, jusqu’à refus. Une ou deux couches peuvent être également disposées sur l’avant du fauteuil pour l’adoucir et arrondir l’arête. Il est essentiel de bien tirer le molleton pour éviter les bosses ou surépaisseurs inconfortables. Lissez-le pour le placer et aplatissez-le dans les angles en l’agrafant. Sachez tout contrôler Le fait de conserver les tissus d’origine facilite grandement la découpe des nouveaux. Commencez par tailler, pour le dossier et l’assise, le coupon de toile blanche servant à maintenir et protéger le molleton. Afin de bien englober ce dernier, laissez un ourlet de 2 cm environ. La toile ne doit être ni trop lâche, à cause des plis, ni trop serrée pour ne pas écraser les formes. De même, apportez beaucoup de soin aux jointures des accoudoirs et des pieds pour éviter les surépaisseurs, insérez la toile dans les interstices avec un couteau d’artiste peintre, une lame de ciseaux à bouts ronds ou le manche d’une cuiller. Pour la fixation, vous pouvez utiliser des semences de tapissier mais comme la toile restera invisible, autant profiter de la rapidité d’une agrafeuse! À noter cette opération préfigure, à quelques détails près, la pose du tissu décoratif. Et puis rhabillez-le ! Comme précédemment, servez-vous des patrons pour découper le tissu de l’assise et celui du dossier la face et l’envers. Placez les coupons à tour de rôle en les lissant du plat de la main. Après avoir vérifié qu’ils sont bien ajustés, clouez-les provisoirement en tenant compte de l’ourlet. Il s’agit avant tout de gérer les assemblages de la structure. Le principe consiste à toujours couper en “dedans” de la mesure apparente. Vous avez ainsi assez de marge pour positionner le tissu et le remborder, sans effilochage. Clouez définitivement toutes ces jointures avant de fixer le reste, en tendant soigneusement la toile. Aux angles, la méthode est fonction de la structure du fauteuil. Une forme carrée nécessite de fendre le tissu afin de le rabattre à 45° sur le côté, le plus discrètement possible. Sur une structure arrondie, une série de petits plis permet de créer un volume adapté à la forme du fauteuil. Il reste ensuite à évaluer le nombre de clous tapissier à planter de façon régulière. Entre chaque, un espace équivalent au diamètre de leur tête bombée est idéal esthétique et fonctionnelle à la fois, cette solution permet un clouage solide. Il est possible, surtout avec un tissu un peu fin, de remplacer les clous de tapissier par un galon passepoilé. Agrafez alors directement l’étoffe avant de poser le galon à l’aide d’une colle pour textiles. Terminez en clouant le reste de toile blanche sur le fond du siège l’envers de l’assise en la tendant au maximum pour éviter tout bâillement inesthétique. Dégarnir le fauteuil Commencez par dégarnir le fond du siège et l’envers du dossier. Pour ôter les semences, vous pouvez utiliser un tournevis en guise de levier et un marteau, ou un ciseau à dégarnir et un maillet. Identifier chaque pièce Procédez en douceur et de façon méthodique, l’ancien habillage doit être conservé tel quel. Identifiez chaque pièce assise, dossier, fond afin qu’elle serve de patron pour la découpe des nouvelles. Observer la composition Sous l’habillage, un coton cordé très grossier, lui aussi fixé par des semences, recouvre une mince couche de crin. Améliorer le confort À l’usage, cette couche de crin s’est tassée au point de laisser transparaître les ressorts en serpentin, ce qui nuisait au confort déjà sommaire… Remettre les bois en état Mouillez le bois grisé avant d’appliquer le dégriseur à la brosse. Laissez agir de 10 à 20 minutes, selon l’importance du grisaillement, puis rincez à l’eau claire. Renouvelez l’opération si nécessaire. Poncer et vernir les pieds Le vernis écaillé des pieds et accoudoirs est éliminé à la ponceuse vibrante. N’hésitez pas à décaper si nécessaire. Une fois le bois mis à nu, reponcez finement, dépoussiérez et revernissez. Rembourrer entre ressorts et crin Pour atténuer la dureté de l’assise et du dossier, trois épaisseurs de molleton sont glissées entre ressorts et crin. Tirez bien chaque pièce, sans la déchirer, et agrafez le tout “serré” sur les cadres. Ajouter une autre épaisseur Procédez de même par dessus le crin, en autant de couches que vous le désirez. Veillez surtout à ne pas créer de bourrelets dans les angles aussi, pliez proprement et aplatissez avant d’agrafer. Découper les pièces en toile Posez chaque patron sur la toile blanche, et aplatissez-le le plus possible pour tracer le contour. Effectuez les découpes avec une marge de 2 cm environ afin de disposer d’un ourlet conséquent. Combler les vides Le surplus de toile permet de la placer en équilibrant le dépassement de tous côtés. Aidez-vous d’une paire de ciseaux à bouts ronds de préférence, pour l’insérer au niveau des accoudoirs. Fixez la toile Ourlez les bords de la toile de manière à recouvrir complément le molleton. Elle doit épouser les formes du siège sans flotter ni les déformer. Agrafez-la à points rapprochés pour une fixation solide. Poser le tissu décoratif Posez le tissu décoratif en répartissant harmonieusement les motifs. Aux jonctions des accoudoirs et des pieds, découpez d’abord une languette un peu plus courte que nécessaire pour bien l’ajuster ensuite. Clouer le tissu aux accoudoirs Après avoir vérifié l’ajustement, rabattez la languette sous le tissu puis tirez sur ce dernier pour l’amener au ras des accoudoirs. Maintenez-le ainsi le temps de le clouer en deux points, au moins. Clouer le tissu au cadre Ourlez ensuite le tissu et fixez-le sommairement sur le cadre avec quelques clous de tapissier. Assurer les finitions Pour assurer une finition propre aux angles, pliez-le avant de le rabattre discrètement sur le coté. Réaliser le cloutage définitif Le clouage définitif doit s’effectuer en respectant un espacement régulier. Les bricoleurs aguerris réalisent le travail “à l’œil” mais si vous doutez de votre précision, guidez-vous avec un mètre ruban. Renforcer le dessous du siège Terminez en recouvrant le fond du siège avec une toile tendue et ourlée. Pointez-la d’abord pour la maintenir en place, puis fixez-la définitivement avec des semences espacées de 2 à 3 cm, au plus. Texte Cabanere Photo Cabanere

• Θտотроп ኘсоջω
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  • Ջጊ ቫаտαስιсред тիψοկ զኡзθрጇ
  • Եхалէሯи ዲрիጽ врա ւዓб

Letissu au goût du jour vous permet de moderniser votre coin salon sans faire ombrage au style de ce fauteuil, qualité du revêtement et robustesse assurent une grande durée de vie sans entretien. Focus sur le tissu coordonnée de l'assise et du dossier pour un mariage aisé dans un intérieur moderne ou classique. Ce fauteuil voltaire appartient à la gamme FLAVIE. -

Hello les amis. Suite à l’article Peindre une ottomane en tissu…. réalisé l’année dernière, vous avez été nombreux à réagir et j’ai reçu tellement de questions sur la possibilité de faire la même chose sur du velours que je me suis dit que je ne pouvais pas en rester là. Alors après avoir scruté le marché de l’occasion ces derniers jours ;, j’ai mis la main sur ce pouf. Comme celui-ci paraissait en bon état, était de la bonne matière et ne coûtait que 10€, je me suis dit Bingo, on y va ! ». L’ottomane c’est plus joli que pouf comme nom ; que j’ai repeinte l’année dernière étant grise, je ne voulais pas refaire la même couleur. Alors après discussion avec ma femme, notre choix s’est porté sur un bleu, le bleu Atoll N°1 de chez Luxens. J’aurai aimé une couleur plus flashy » mais avec 3 chiens et 3 enfants, les couleurs claires sont exclues d’office car elles ne feraient pas long feu si vous voyez ce que je veux dire ;. Et afin d’essayer de répondre à une des questions qu’avait soulevées le précédent article quant à l’aspect satiné » du tissu, j’ai pris la peinture en finition mat. Le pouf étant en deux parties, un coussin et une base faisant office de coffre, j’ai décidé de commencer par le coussin. Avant d’appliquer la peinture, j’ai pris soin de mettre du scotch à peinture pour ne pas trop tacher la planche. Petite précision, je ne sortais pas de table quand j’ai mis le scotch hein, c’est juste que j’ai essayé de rester au plus proche de la bordure de tissu mais celle-ci n’a pas été posée très droite à priori ;. J’ai aussi démonté les butées en plastiques qui servent à maintenir le coussin sur le socle du pouf pour être plus à l’aise pour peindre. Maintenant que cette étape est faite, laissez-moi vous présenter le matériel que je vais utiliser pour ce relooking Une bassine pour faire mon mélange peinture + médium + eauUne pistolet vaporisateur ici un spray à vitres pour vaporiser d’eau le tissuDu médium la bouteille blancheUne cuiller doseuse 20 clUne brosse à tissu dont je vais me servir en guise de pinceau Le médium est le produit qui va adapter » la peinture pour que celle ci soit compatible avec un usage sur le tissu. J’utilise du médium pour gouache car c’est celui ci que j’avais utilisé lors du projet de l’ottomane et je suis très content du résultat après presque un an d’utilisation. Edit du 30/03/2021 le produit semblant être en rupture, une alternative pourrait être ce produit qui semble offrir les mêmes caractéristiques. A noter par contre que je n’ai jamais eu l’occasion de le tester 😉 . Pour obtenir une peinture assez liquide j’ai effectué le mélange suivante 1 dose de peinture1 dose de médium3 doses d’eau Ce n’est pas une recette de cuisine et il n’y a pas d’ordre à respecter particulièrement. J’ai fait dans cet ordre-la car en mettant l’eau en dernier cela permet de laver » la cuiller et donc d’éviter de gâcher de la peinture et du médium. Pas bête hein 😉 Le but va plus être de teindre le velours couche après couche plutôt que d’étaler une couche épaisse. J’espère ainsi pouvoir conserver un aspect assez doux au toucher. De plus , une couche épaisse craquerait assez vite dans le temps donc autant y aller petit à petit pour un meilleur résultat. J’ai commencé par peindre le dessous du coussin. Avec le spray, je vaporise d’eau le coté que je vais peindre puis avec la brosse je fais des mouvements horizontaux en essayant de faire toute la longueur d’un côté. Même chose pour le dessus du coussin. On humidifie la surface à l’aide du spray puis on peint en faisant des lignes. La seule différence est que j’ai croisé les passes afin de bien teindre » le velours. Une fois la première couche appliquée, j’ai mis le coussin à sécher au chaud dans la maison aucune chance que la peinture ne sèche en extérieur en ce moment ; puis je me suis attaqué au socle du pouf. Là aussi j’ai protégé la base. Le principe reste identique à la peinture du coussin. On humidifie puis on fait de grands mouvements d’un angle à un autre. Le lendemain, la peinture avait bien séchée, et comme je m’y attendais l’aspect n’était pas terrible au toucher. Pour l’ottomane, j’effectuais un ponçage entre chaque couche de peinture pour assouplir le tissu. Sur du velours, je ne pense pas que cette solution soit efficace de suite du fait que ce n’est pas lisse comme du tissu. Cela sera plus utile dans les dernières couches. A ce stade j’ai préféré utiliser une brosse en nylon de ce style. C’est marrant mais après avoir brossé le coussin, on a l’impression que presque toute la peinture est partie. Pas de panique ! 😉 . C’est la lumière lors de la prise de la photo qui donne cet aspect car en vrai le résultat n’était pas aussi catastrophique. De plus mon but étant d’essayer de conserver un aspect agréable au toucher, je préfère avoir à mettre plus de couches si nécessaire que d’avoir un aspect cartonné à la fin. Pour le brossage j’ai effectué de grands mouvements en longueur mais en ne m’interdisant pas de frotter en peu plus là où je trouvais que le velours était trop rêche. La deuxième couche commence à donner un bon aperçu de la couleur finale. L’application de la troisième couche, ici sur le socle, a été appliquée selon le même principe que précédemment. On brosse la peinture sèche de la couche précédente puis on humidifie et on peint. Cela commence à ressembler enfin à quelque chose. Après la troisième couche, la brosse en nylon était de moins en moins efficace pour relever les fibres et surtout redonner de la douceur au velours. J’ai donc senti que c’était le bon moment pour utiliser la cale à poncer afin d’obtenir à nouveau une sensation agréable au toucher. J’ai joué la sécurité et j’ai pris un papier avec un grain standard » à savoir du 120. C’est assez fin pour ne pas abîmer le tissu et c’est assez gros pour ne pas avoir à beaucoup frotter. Le résultat a été immédiat et le tissu a retrouvé un aspect vraiment sympa. La brosse nylon est quand même nécessaire afin d’éliminer les petits résidus que peut laisser le papier à poncer. En effet celui ci agit comme une mini lame » et coupe les extrémités de chaque poils où la peinture a durci. C’est pour ça qu’après utilisation du papier à poncer, un petit dépôt est visible et que le tissu est de nouveau doux. Pour la 4ème couche, j’ai dilué la peinture en peu plus comme on le fait souvent lorsqu’on peint un permet de faire la petite couche de finition qui fait toute la la recette utilisée 1 dose de peinture1 dose de médium4 doses d’eau soit une de plus Lors de l’application de la peinture pour cette quatrième couche, j’ai dû faire un brin de ménage car la peinture étant vraiment plus liquide, elle a eu tendance à goutter. En gros j’en ai mis partout par terre 😉 Alors faites attention à votre sol et pensez à le recouvrir. Et vous savez quoi, on ne dirait pas mais sur la photo, le coussin a déjà reçu 4 couches de peinture. Alors comme je n’en pouvais plus de faire des photos où le résultat était tout sauf visible , j’ai bravé le froid, en me mettant quand même au soleil hein. Vous me croyez si je vous dis que cette photo a été prise 5 minutes après celle juste au dessus ? Oui ? Non ? Et bien pourtant c’est la réalité, et c’est à peine croyable vu la différence de couleur. Si quelqu’un qui s’y connaît bien en lumière et photographie a une explication logique, je suis preneur ;. Bref, autant profiter du soleil et du vent pour appliquer la dernière couche dehors. J’ai donc peint le coussin encore une fois puis après je suis passé au socle. A droite la 5ème couche en cours d’application et à gauche la 4éme couche qui est sèche. Pour charger ma brosse de peinture, je trempais à peine celle ci dans la peinture, juste assez pour qu’une petite goutte se mette sur chaque touffe de poils. J’ai essayé de vous faire une photo. J’ai peur que cela ne rende pas bien car la peinture descendait le long des poils le temps que je fasse la photo. Après cette cinquième et dernière couche, le socle a enfin une finition qui me semble correcte. Une fois la peinture sèche, vous connaissez l’histoire maintenant ;, j’ai poncé et brossé l’ensemble. Et voilà le résultat que j’ai obtenu Les poils du velours ne sont pas collés et j’en suis content car c’est le résultat que je voulais obtenir. Je pense que le fait d’avoir utilisé une brosse et non un pinceau a joué dans ce résultat. La couleur est assez uniforme même s’il faut l’avouer on voit quelques lignes. Ce point est dû au dernier ponçage que j’ai effectué à mon avis, et il devrait disparaître sous peu de temps quand le pouf aura été un peu utilisé. Cette couleur de chez Luxens prend bien la lumière et le bleu a tendance à connaitre des légères variations de teinte selon comment on le regarde. C’est sympa, cela donne de la texture. La finition en mat est vraiment bien puisque le tissu ne brille pas et a un aspect normal. Je dirais donc qu’il est mieux d’utiliser ce type de finition plutôt que celle satin » pour peindre du tissu. J’avais peur que la couleur ne s’éclaircisse beaucoup avec le brossage et le ponçage sur les parties plus dures comme les bords et les coutures mais il n’en est rien. On dirait juste une légère usure due à l’utilisation du pouf. Petite question si vous n’aviez pas lu cet article, penseriez vous que ce pouf en velours a été peint? C’est ça en fait le bon test est-ce que cela se voit si on ne le sait pas. Si la réponse est non c’est gagné ;. Je vous fais un petit récapitulatif des étapes au cas où 1ère et 2ème couche peinture diluée avec 3 doses d’eau Vaporiser d’eau la partie à peindreAppliquer la peintureAttendre que la peinture sècheBrosser pour décoller les fibres 3éme couche peinture diluée avec 3 doses d’eau Vaporiser d’eau la partie à peindreAppliquer la peintureAttendre que la peinture sècheBrosser pour décoller les fibresPoncer au papier grain 120Brosser pour enlever les résidus de ponçage 4ème et 5ème couche peinture diluée avec 4 doses d’eau Vaporiser d’eau la partie à peindreAppliquer la peintureAttendre que la peinture sècheBrosser pour décoller les fibresPoncer au papier grain 120Brosser pour enlever les résidus de ponçage A noter que j’ai utilisé les 3/4 du pot de peinture ainsi que les 3/4 de la bouteille de médium textile pour réaliser ce projet. Alors voila si vous avez une vieux canapé, un vieux fauteuil ou même un pouf 😉 en velours et que vous avez des envies de nouveautés , maintenant vous savez comment le repeindre et à quel résultat vous attendre. La bise Mat

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